Agenda

septembre 2016

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    LE THEATRE SPESIVSTEV DE MOSCOU PRESENTE A PARIS UN NOUVEAU MOLIERE.

    L’ambassade de Russie à Paris, le Centre des sciences et de la culture de Russie
    et l’association « Glagol » de soutien de la culture russe vous invitent à la première représentation du spectacle musical « Les fourberies de Scapin »
    du théâtre de la jeunesse de Moscou de Viaceslav Spesivstev

    le 6 septembre 2016 à 19h sur les planches de l’ambassade de Russie
    40-50 boulevard Lannes, 75116 Paris.

    La jeunesse d’aujourd’hui a souvent du mal à comprendre la langue du théâtre classique (Shakespeare, Molière…) qui nécessite une réécriture dans une langue plus contemporaine et dynamique, nous confie le régisseur russe. Cette première à Paris est une interprétation originale et poétique de la comédie en prose « Les fourberies de Scapin ». Cette comédie du XVIIe siècle est l’aventure d’un escroc, le fripon Scapin doué d’un esprit fin, de hardiesse et d’une capacité à se sortir de toutes sortes de situations. Grâce à la jeune troupe elle résonne de manière très actuelle par son éxécution musicale et sa brillante interprétation. « Nous avons besoin de la comédie aujourd’hui. L’humour bon et enchanteur est une véritable nécessité » affirme Viatceslav Spesivtsev.

    Ambassade de Russie

  • L’ensemble vocal "Radouga" a commencé son activité en janvier 2010 dans le cadre de l’année France-Russie, à l’initiative de l’Association des Russisants d’Aquitaine, avec le soutien de la ville de Saint-Médard-en-Jalles.
    Il compte une trentaine de choristes du Bordelais, certains connaissent le russe, un tiers environ, les autres travaillent les textes des chants avec des transcriptions. Ces non-russisants s’adaptent très bien à la phonétique de la langue russe, et leur prononciation suscite l’admiration des choristes russisants.
    Le répertoire comprend pour l’instant des chants populaires et religieux.
    La chorale est dirigée depuis le mois de septembre 2015 par Nailia Binkulova.

    Depuis 2010 l’ensemble vocal "Radouga" a déjà donné quelques concerts à Bordeaux et dans la région.

    Les répétitions ont lieu tous les jeudis de 20h00 à 22h00 à l’école Montaigne, avenue Montaigne (portail bleu à côté de l’auto-école Dexterat), 33160 Saint-Médard-en-Jalles (Liane 3, arrêt "République")

    Reprise des répétitions pour 2016-2017 : jeudi 8 septembre 2016 de 20h00 à 22h00.
    Possibilité d’assister aux répétitions du mois de septembre sans engagement (accueil dès 19h30).

    Contacts :

    • Sylvette Soulié : 06 87 55 61 06 / sylvette.soul@wanadoo.fr
    • Marie-France Wenzel : 05 56 05 97 67 / marif.wenzel@gmail.com
  • Centre Pompidou

    À partir du 14 septembre 2016, le Centre Pompidou expose l’extraordinaire don de plus de deux cent cinquante œuvres soviétiques et russes contemporaines réunies avec le soutien exceptionnel de la Vladimir Potanin Foundation. Cet ensemble d’œuvres a pu être offert au Musée national d’art moderne grâce à la générosité de la Vladimir Potanin Foundation, des collectionneurs, des artistes et leurs familles. Inscrit dans une année 2016 placée sous le signe d’un hommage aux donateurs de tous horizons, ce projet rappelle l’importance cruciale de ces gestes engagés pour le développement des institutions patrimoniales. L’ensemble ainsi constitué, composé d’œuvres d’artistes majeurs, offre un panorama, sans prétention à l’exhaustivité, de quelques quarante années d’art contemporain en URSS puis en Russie, à travers les principaux mouvements qui les ont sillonnées.

    La présentation donne à voir la richesse d’un art né en marge du cadre officiel. Dès la fin des années 1950, les artistes « non conformistes », à l’instar de Francisco Infante, Vladimir Yakovlev ou Yuri Zlotnikov, stimulés par les expositions internationales permises par la politique khrouchtchévienne de « dégel », renouent avec les pratiques esthétiques des avant-gardes russes, elles-mêmes sources d’inspiration pour tant d’artistes occidentaux. Ils cherchent à inventer leur propre langage plastique. En 1962, la fermeture par Khrouchtchev de la salle non conformiste incluse dans la fameuse exposition du Manège (Moscou), bannit pour plusieurs années de l’espace public toute expression artistique contraire à la doctrine du réalisme socialiste qui, à partir des années 1930, a mis fin aux expérimentations modernes en URSS.

    Les années 1970 voient l’émergence de deux mouvements aux frontières poreuses. L’École conceptualiste moscovite prend une ampleur déterminante sous l’impulsion d’Ilya Kabakov, de Viktor Pivovarov, de Rimma et Valéry Gerlovin, suivis d’Andreï Monastyrsky et de Dmitri Prigov. Accordant une place prépondérante au langage, travaillant à la croisée de la poésie, de la performance et des arts visuels, ces artistes proposent dans la Moscou de la « Stagnation » un art conceptuel reflétant la primauté de la littérature dans la culture russe. Une seconde génération d’artistes rejoint la communauté conceptualiste à la fin des années 1970, comme le groupe Mukhomor, Yuri Albert, Mikhaïl Roshal, Viktor Skersis ou Vadim Zakharov.

    Concomitant du conceptualisme moscovite, le Sots art, inventé par le duo Komar et Melamid, détourne dans une veine pop les codes de la propagande soviétique. À la différence des artistes pop, confrontés à la surabondance de biens de consommations, Alexandre Kosolapov, Boris Orlov ou Leonid Sokov démythologisent l’environnement idéologique de la société soviétique. Courant fécond dont certains des protagonistes émigrent dès les années 1970, le Sots art marque fortement l’esthétique des années de la perestroïka, animant l’œuvre de différents artistes à l’instar de Grisha Bruskin.

    Au milieu des années 1980, l’avènement de la perestroïka provoque un véritable bouillonnement créatif, imprégné d’une culture underground, émanant de différents squats. Un fort pressentiment de liberté enivre alors les jeunes artistes : Sergei Anufriev, Andreï Filippov, Yuri Leiderman, Pavel Pepperstein ou le groupe Pertsy à Moscou, Sergei Bougaev-Afrika, Oleg Kotelnikov, Vladislav Mamyshev-Monroe ou Timur Novikov à Leningrad.

    La fin de la décennie est marquée par la légitimation de cet art né dans les marges. Les mécanismes du marché de l’art, encore inexistant, commencent à se mettre en place : en 1988, une première vente aux enchères organisée par Sotheby’s à Moscou, donne une valeur tangible à l’art non officiel. Très rapidement, les frontières avec l’art officiel disparaissent. Une nouvelle génération d’artistes s’affirme, incluant AES+F, Dmitri Gutov, Valéry Koshlyakov ou Oleg Kulik. À partir des années 2000, l’art contemporain s’institutionnalise et intègre peu à peu la culture nationale.

    Le Centre Pompidou tient à remercier la Vladimir Potanin Foundation. Il souhaite également rendre hommage à l’ensemble des donateurs, notamment Ekaterina et Vladimir Semenikhin et la Tsukanov Family Foundation, qui démontrent de façon exemplaire les vertus d’un effort collectif tendu vers les artistes et de leurs œuvres.

    • Soirée Littéraire avec Andreï Kourkov jeudi 15 septembre de 18h30 à 21h00
      à la Librairie Madison, 11 rue Michel Montaigne Libourne (33)
    • Soirée Littéraire avec Andreï Kourkov vendredi 16 septembre de 19h30 à 22h00
      à l’ Athénée Municipal, Place Saint Christoly, Bordeaux (33)
    • Séance Dédicace avec Andreï Kourkov samedi 17 septembre de 16h00 à 17h00
      à la Librairie Madison, 11 rue Michel Montaigne Libourne (33)
    • Intronisation d’Andreï Kourkov dans la Jurade Saint Emillion dimanche 18 septembre

    Pour plus de détails, cliquer ici.

  • La Colline

    Deux ampoules sur cinq, inspiré de Notes sur Anna Akhmatova de Lydia Tchoukovskaïa.

    Les samedis et dimanches, les trois spectacles sont proposés en intégrale (samedi à 19h et dimanche à 15h), et du mardi au jeudi en alternance : Deux ampoules sur cinq, le mardi à 20h, Let me try, le mercredi à 20h et L’Opoponax, le jeudi à 20h

  • Théâtre Douze

    Vous connaissez Tchekhov ! Mais connaissez-vous Rustika d’après La demande en Mariage d’Anton Tchekhov ? Une bouffonnerie amoureuse du maître russe, orchestrée par 4 comédiens délirants. Cette création drôle, émouvante, romantique et décapante vous emmènera au plus profond de l’œuvre de Tchekhov.

    Obtenus au Festival International de Théâtre de Mont-Laurier, Québec, Canada en 2015 : le Prix Spécial du Public et le Prix de la Meilleure Mise en Scène.

  • Comédie française-Vieux-Colombier

    Sonia et son oncle Vania s’occupent depuis des années du domaine familial. Quand le père annonce sa décision de le vendre, les nœuds des relations humaines se dénouent au sein de la petite communauté qui y est réunie. Avec Oncle Vania, Tchekhov crée une « forme absolument nouvelle dans l’art dramatique », selon Gorki qui lui écrit « Je me suis mis à trembler devant votre talent, et à trembler de peur pour les gens, pour notre vie, misérable, incolore. Quel drôle de coup – et comme il est précis – vous avez frappé là ». On reprocha à l’auteur d’être trop près de la vie quotidienne, on est aujourd’hui impressionné par l’ampleur du mouvement de l’âme qu’il déploie.
    Tchekhov a 36 ans lorsqu’il écrit cette pièce, l’âge de Julie Deliquet qui la met en scène. Figure emblématique de la nouvelle vague des collectifs issus des tg STAN et des Possédés, la directrice artistique d’In Vitro développe une écriture de plateau où l’acteur tient la place centrale. Cette pièce en quatre actes, sans découpages de scènes, est une matière idéale pour son « théâtre du réel », en prise avec le présent dont elle aime la fragilité. Dans une forme épurée au sein d’un dispositif bi-frontal, au plus près des mots portés par la dynamique du groupe, les acteurs sont associés en tant que créateurs à part entière. Se réappropriant chaque soir cette constellation de solitudes, ils nous assurent que la force du théâtre est d’être un art du vivant.

  • Midi musical avec Mikhaïl Timoshenko, jeune baryton russe de l’Atelier Lyrique de l’Opéra National de Paris, lauréat du concours de chant Bordeaux-Médoc.

    Grand Théâtre
    Bordeaux (33)

  • Théâtre de l’Atalante

    Poèmes et chansons de Marina Tsvetaeva
    Montage et interprétation de Lessia Tyshkovska
    Le phénomène de Marina Tsvetaeva dans le contexte de la littérature française est unique. Parmi les poétesses russes personne n’a laissé dans la culture française une telle trace que celle de M.Tsvetaeva, qui a vécu en France pendant 14 ans et qui y a écris la plupart de ses chefs-d’œuvre.
    La plupart des textes sont en russe

  • Théâtre de l’Atalante

    Acteurs, chanteurs, conteurs, Veronika et Anatoliy Pereverzev vous proposent une soirée poétique et musicale, au cours de laquelle ils évoqueront, entre autres, le poète Nicolaï Roubtsov et le romancier et scénariste et acteur Vassiliy Choukchine.
    La plupart des textes sont en russe

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