Lien vers le site du Katorza

En 2013, Le Sacre du Printemps fêtait ses cent ans. En un siècle, presque deux cent versions de cette pièce mythique ont été recensées. Pourtant il n’existe aucune trace de la chorégraphie originelle de Nijinski qui ne fut ni enregistrée, ni notée. Dominique Brun est partie de ce paradoxe - disparition de l’œuvre et prolifération de ses versions - pour en proposer deux nouvelles interprétations.
Pour Sacre # 197, elle a convié six chorégraphes-interprètes de renom (François Chaignaud, Sylvain Prunenec, Julie Salgues…) à inventer une danse du sacrifice à partir d’archives et de témoignages d’époque (notamment les dessins de Valentine Gross Hugo). La poésie et la noblesse qui surgissent